Le noyau interphasique

On distingue les eucaryotes, des procaryotes en fonction du noyau. Ces derniers présentent différents aspects au cour de la vie cellulaire.

1/ Le cycle cellulaire:

État haploïde (23 chromosomes) à C = Quantité d'ADN

Pendant la mitose, le noyau a un aspect condensé, prenant fortement les colorants basiques.

A l'interphase, les chromosomes sont "décondensés" et forment la Chromatine, c'est la période la plus active avec:

-G1 La phase de transcription avec la synthèse d'ADN, ARN,...

-S Synthèse d'ADN

-G2 Phase pré-mitotique

- M Division cellulaire

Pour les cellules qui ne se divisent plus, il n'y a pas de phase S, elles vont en phase Go définitivement ou transitoirement. Par exemple: les neurones ou certaines qui sont en attentes de stimulations. Le marquage de l'ADN par la radioactivité (acide animé: thimidine H3 Titrié) se fait pendant la phase S.

2/ Structure générale du noyau observée en phase G1 et G2

On distingue deux densités différentes:

-Une dense, très colorables, souvent fixée sur l'enveloppe, c'est l'hétérochromatine.

-Une plus claire, au centre, c'est l'euchromatine

Le nucléole est très dense en microscopie électroniques et est riche en protéines plus ou moins grosses. Le nucléoplasme est la phase soluble qui imprègne le nucléole et les deux types de chromatine. Les pores nucléaires représentent le lieu de passage des macromolécules entre le noyau et le cytoplasme.

Observation au microscope électronique à haute résolution:

Le nucléole est très dense au microscope électronique, il est  riche en protéines et est plus ou moins gros.  le nucléoplasme est une phase soluble qui imprègne le nucléole et les deux types de chromatine.  les ports nucléaires représentent le lieu de passage des macromolécules entre le noyau et le cytoplasme.


 


 

Le complexe du pore correspond à 8 sous-unités qui définissent un tunnel.  La chromatine est fortement attachée à la lamina et elle ne flotte pas librement dans le nucléoplasme. Le nombre et la densité des pores sont variables d'une cellule à l'autre et est à peu près proportionnelle à l'activité de transcription.


 

Cas de l'ovocyte de xénope (amphibien):


 

 

Densité de pore

Nombre µm2     d’enveloppe nucléaire

Nombre total par noyau

Ovocyte amphibien

50

40000000

Lymphocyte humain

3

270




 

Nature et composition des pores nucléaires :

 digestion enzymatique, deux types de traitement :

- par des protéases : trypsine,...

- par des nucléases: DNases, RNases,...

Le traitement par des protéases ou les nucléases, ont le même effet, il y a disparition de l'anneau qui est digéré. Cela permet de dire qu'il est de nature Ribonucléoprotéique (RNP). Cette observation permet de penser, qu'il y a une association entre les protéines qui forment le complexe et les molécules qui traversent le pore.  Lle passage par le port n'est pas un simple passage passif.


 

La membrane nucléaire est  plus ou moins ressemblante  à celle du RE, du point de vue pourcentage de protéines et de lipides. L'enveloppe nucléaire est  en continuité avec le REG. Quand on localise des enzymes dans le REG,  on peut aussi les retrouver dans l'espace périnucléaire, comme la cytochrome 450. C'est un compartiment de stockage, qui n'a pas les mêmes activités enzymatiques que le RE. La concentration en eau du nucléoplasme est inférieure à celle du cytoplasme.


 

2/Composition chimique :



 

L'ADN contient des caractères héréditaires et représente une constante  de l'espèce point il s'agit d'une molécule longue, bicaténaire, fortement contrainte dans le noyau.


 

Mesure de la quantité d'ADN dans différentes espèces ( idée d'évolution  des espèces avec la quantité d'ADN)



 

Vertébrés choisis

Poids de l’A.D.N / Noyau en picogramme (10-12)

Longueur de l’ADN noyau en mètres

Amphibien

6,3 pg

2,03m

Poulet

2,88 pg

0,93m

Homme

7,3 pg

2,36m



 

On s'aperçoit que la quantité d'ADN n'a pas de signification génétique pour l'espèce, ce n'est pas la quantité qui compte mais la qualité du contenu.


 

L'ARN du noyau est très hétérogène et est différent de ceux du cytoplasme. On distingue des précurseurs qui subissent une maturation avant d'aller dans le cytoplasme.

Dans le noyau on trouve :

- les pré-messagers qui sont de grosses molécules à courte durée de vie.  90 % d’entre elles sont dégradées en 10 à 30 minutes dans le noyau. ils ne passeront pas dans le cytoplasme, seuls les 10 % restants y passeront et se sont les ARN messager.

- les pré-ribosomes sont plus gros et seulement 10 % passeront dans le cytoplasme.  Leur  stockage et leur maturation ont lieu dans le nucléole.

- les ARN associés au nucléole et aux chromosomes, ont un poids moléculaire variant entre 4,5s et 10s. On ne les trouve pas dans le cytoplasme. Leur durée de vie est longue.

- les ARN initiateurs de la réplication de l'ADN sont très petits et sont dégradés après avoir joué leur rôle d'initiation. Leur présence empêche la fermeture des deux chaînes de l'ADN.


Protéines retrouvées dans le noyau :

Les histones:
Dans le noyau on retrouve des protéines très basiques riches en lysine et en arginine (acides aminés) appelés Histones. Le PM (poids moléculaire est compris entre 11000 et 23000. Il existe cinq grandes familles d'histones et dans ces familles plusieurs types différents. Cette différence est due à la teneur en Arginine (Arg) et Lysine (Lys) qui peut aller jusqu'à 25% de leur constitution, ce qui est relativement rare pour une protéine. Leur localisation est à l'extrémité terminale C ou N terminale de l'Histone. Les histones s'associent entre elles grâce à leur partie globulaire et par des interactions à caractères hydrophobes, en octaméres.






Les histones H4,la transformation de H3, H2a, H2b ont une affinité forte pour l'ADN et comportent une partie basique en N terminale. Les histones H1ont une affinté moindre pour l'ADN et possède une partie basique en C terminale. Dans le noyau, elles peuvent être phosphorylés ou acétylisées en fonction des régions, ainsi, l'affinité pour l'ADN augmente ou diminue. Tout cela joue un rôle lors de la division cellulaire permettant la transformation de la chromatine en chromosomes.


Les protéines non histones:
Ont été identifiées:
-des protéines de structures associées aux chromosomes et à la chromatine.
-des protéines contractiles types Actine et myosine.
-des protéines de types polymérases et bien d'autres.





3/Organisation moléculaire de la chromatine


A/ données expérimentales : trois types d'expérience pluridisciplinaires:

a) méthode physique :

La distraction de particules comme les neutrons donne une idée de la forme des
molécules dans l'espace et le rayon de giration ( Rayon de la spire élémentaire
du solénoïde). la chromatine, comprenant à la fois l'ADN et les histones à un
rayon de giration de 5 nanomètres. Les histones seul, ont un rayon de 3
nanomètres, ceci donne un renseignement important sur l'emplacement de l'ADN
par rapport aux histones, car dans ce cas, on peut dire que l'ADN est en dehors
des histones et que du coup cela implique qu'il est accessible.

b/méthode biochimique :

Elle utilise des enzymes purifiées comme la DNase extraite du staphylocoque. On
effectue une attaque ménagée, en limitant le temps d'action de la DNase I. Sur
la chromatine ainsi coupée, on sépare les histones de l'ADN et on constate qu'il
y a coupure toutes les 200 paires de base. Pourtant, la DNase 1 peut couper
toutes les régions de l'ADN. Les 200 paires de base doivent appartenir à des
régions de l'ADN protégées par l'action de la DNase 1. Cette longueur n'est pas
constante, elle varie en fonction de l'espèce: par exemple pour l’Aspergillus
(Champignons filamenteux de type moisissure), il y a 150 paires de bases.

Par cette méthode, des segments d'ADN sont ainsi isolés. La même expérience est
prolongée et sachant que l'ADNase I n’attaque pas les histones, on finit par
désorganiser tout l'ADN. En observant différents moments, on constate une
période de ralentissement de l'attaque, ce moment est invariant d'une espèce à
l'autre et concerne 140 paires de bases. En regardant les Histones, on
s'aperçoit que l’histone H1 s'est détachée et est passée en solution. On
constate alors que l'histone H1 a une localisation différente des autres.

En faisant une contre expérience en utilisant l'ADN ase 1 sur de l'ADN purifiée,
on voit que l'ADN est totalement dégradé en nucléotide et que par conséquent
l'ADNase I n'avait pas de région d'action privilégiée.

c/études au microscope électronique :

Principes : sur une grille de cuivre, recouverte d'un film plastique, on dépose
des noyaux et on laisse sécher. On place l'ensemble dans un évaporateur sous
vide où des métaux lourds sont pulvérisés à 45 degrés d'incidence.

On observe alors une structure en chapelet ou en collier.







B/Modèle de KORNBERG:


Il s'agit d'un filament nucléosomique que l'on trouve dans l’euchromatine et
l'hétérochromatine.








L'ADN fait un tour 3/4 par nucléosome. Il est entouré en super hélice autour des
nucléosomes et forme un lien entre deux nucléosomes. L’histone H1 se situe au
niveau du lien interne nucléosique et joue un rôle de verrouillage de l'ADN sur
le nucléosome pour empêcher sa despiralisation. On peut désassembler ou
assembler les histones en faisant varier la température et la force ionique du
milieu. À basse force ionique et à basse température, les nucléosomes se coupent
en deux. Dans la chromatine native, on trouve des nucléosomes plus près les uns
des autres.



4/Le nucléole :

C'est un petit organite dans son électron, en nombre constant, sans membrane
avec un contour flou. il comporte deux zones concentriques:

- une zone périphérique granulaire
- une zone centrale fibrillaire







Pré ARN 45S

Filament d'ADN avec les histones. C'est le filament nucléosomique nucléolaire, contenant les gènes servant à la synthèse d'ARN organisateur nucléolaire. Il y a des protéines associées à l'ARN ribosomal et elles sont synthétisées dans le cytoplasme par les polysomes, puis elles retournent dans le noyau pour s'associer aux ARN en cours d'élongation. Le pré ARN 45S est coupé en ARN 18S et 28S. L'assemblage des sous unités se fait dans la zone granulaire du nucléole.

L'ARN 5S n'est pas transcrit dans le nucléole mais dans d'autres régions de la chromatine, il est associé à l'ARN 28S dans la zone granulaire.

La région granulaire est constituée de pré particules ribosomales. L'activité du nucléole traduit l'activité de synthèse de protéines de la cellule.


5/Organisation du génome des eucaryotes:


Mise en évidence des techniques de manipulation génique. L'ADN existe dans de
très nombreuses molécules, il faut les couper pour observer le génome, mais cela
ne se fait pas au hasard. Tout est basé sur des observations en microscopie
électronique, au cours d'expérience d'hybridation entre l'ARN messager et l'ADN,
ou entre l'ADN complémentaire. En prenant une molécule d'ADN en double hélice,
on repère sur l'un des brins en double hélice. On repère sur l’un des brins 4
caractéristiques : A,B,C, et D'terminal. On peut trouver alors deux types d'ARN
messager :
- l’ARN messager complémentaire d'une séquence.
- l’ARN messagerie complémentaire de deux séquences.

Ces ARN messagers sont extraits du cytoplasme de la cellule.



Phénomène d'hybridation :

Pour permettre l’hybridation, il faut mélanger ADN et ARN messager, puis
effectuer une dénaturation ménagée de l'ADN, pour séparer les brins et rendre
les bases accessibles :








Quand l’ARN messager est complémentaire de deux séquences, on obtient une
boucle, avec renaturation des deux brins d'ADN par liaisons hydrogènes pour les
parties non complémentaires de l'ARN messager soit :

- ARN messager complémentaire de deux séquences : boucle + yeux d'hybridation.
- l'ARN messager complémentaire d'une séquence : œil.
- l'ARN messager en séquence terminale: fourche d'hybridation.

Toute l'expérience repose sur l'obtention d'ARN messager purifié et parfaitement
identifié, et en quantité suffisante.



A/Si la RN messager est entre petite quantité:

On peut réaliser le clonage d'un gène, à partir d'un ARN messager purifiée et
en petite quantité. on réalise grâce à la transcriptase reverse, un gène
synthétique fait d'ADN.

 



 

B/Grâce à l'hybridation un tri peut-être effectué parmi les gènes:

 

a-Séquences très courtes, répétées un grand nombre de fois, réunies en bloc dans la même région de la chromatine.

Exemple : chez la drosophile, l'ADN satellite est formé uniquement de deux types de bases. L'une des chaînes peut-être constituée uniquement de base puriques, l'autre de base pyrimidique. Cet ADN représente 10 à 25 % du génome total. Il est très faiblement transcrit. Il y a plus ou moins une inactivité génétique de l'ADN satellite, c'est de la chromatine peu active.

b-Gènes codés environ 10 fois, sont de deux types:

-gènes ribosomaux dans le nucléole, ils sont transcrits en ARN 45s mais non traduits.

-gènes codants pour les protéines de structure, il y a environ 10 gênes codants pour les histones, chez l'homme, la souris, l'amphibien xénope mais ils sont trop nombreux pour être purifiés.

Cas particulier : l'oursin pour lequel il existe 300 à 1000 copies par lot haploïde, on pourrait le considérer comme de l'ADN satellite, mais ces gènes sont transcrits très activement en protéines histones.  C’est chez l'oursin que les gènes histones ont été observés, car on peut directement les utiliser comme sonde :  l'ARN messager est utilisé comme sonde dans les cellules de l'oursin pour reconnaître le génome.


 


 

On purifie les ARNm messager 9S matures, traduits en histones dans le cytoplasme. Le marquage radioactif de cet ARNm fournit une sonde radioactive. Parallèlement, la chromatine du noyau est isolée. l'ADN est coupé en segment de restriction de taille inégale, puis séparé par classe de longueur identique. On effectue ensuite une dénaturation ménagée par chauffage modéré pour couper les liaisons hydrogène, puis on effectue une hybridation avec la sonde ARNm/ ADN.

La classe radioactive est conservée, elle contient la sonde et permet  une cartographie de chevauchement. L'ordre de succession des 5 gènes codants pour les 5 histones, et toujours la même.

  H4; H2b;H3;H2n;H1;H4;.....

Des enzymes de restriction vont couper  entre les gènes:

-ECOR1 coupe toujours au niveau d'une séquence cible entre H4 et H2B. On obtient un fragment avec 5 Gênes.

-HINDIII coupe entre H1 et H4 des fragments qui sont de la même longueur qu'avec ECOR1 et donc dans la même classe.

En faisant agir les deux enzymes, on obtient le segment de restriction H4.

 

Au moment de l'hybridation, on s'aperçoit que la taille du segment de restriction est supérieure à celle de l'ARNm. il n'en pas de même pour H1;H2b;H2a;H3.

 

Les gènes Histones comportent donc des séquences non transcrites dans les ARNm matures. Ce sont des segments intercalaires riches en base A & T, qui sont absents de l’ARNm, alors que des portions transcritent sont riches en base G et C.

On peut effectuer une dénaturation partielle et une observation au microscope électronique.


 

Dénaturation partielle 

Elle consiste à chauffer modérément ce qui permet de ne pas séparer les bases a été. Pour empêcher la formation des liaisons hydrogène, on utilise la formadine qui se fixe sur A.  Il y a ensuite renaturation des régions ne contenant pas en ont pas de A & T, car certaines bases G & C se sont séparées dans la manipulation. 

Il y a une formation d’yeux correspondants aux régions qui ne sont pas renaturées, le motif est régulier : œil, segment droit, œil,...


 

C/ Les gènes uniques :

Le gène étudié est le gène ovalbumine. Ces gènes uniques sont les plus nombreux, ils codent les protéines marqueurs de la différenciation cellulaire. L'ovalbumine est synthétisée par les cellules de l'oviducte de la poule. La quantité de molécule d'ovalbumine est très importante et n'existe qu'un seul gène.  Ce gène est très actif car le messager de l'ovalbumine représente 50 % des messagers produits.

 

 

Observation microscope électronique :


 

 Organisation en mosaïque du gène:


 

 

L'ADN (segment de restriction) forme après hybridation, une très grande boucle A, puis des boucles de tailles différentes. L'ARNm s'hybride, en partant de la grande boucle, par son extrémité 5'. La séquence "leader", L, contient les signaux de début de l'ARNm.

Les lettres correspondant aux introns, les zones complémentaires et hybridées à l'ARN messager (chiffres), sont des exons.

C'est la structure en mosaïque car le gène est une mosaïque d'introns et d'exons, de tailles différentes et seuls les exons se retrouvent dans l'ARNm. Intermédiaire entre l'ADN et l'ARN messager, l'ARNm précurseur comprend les introns et les exons. Les introns sont ensuite excisées pour donner l'ARNm mature, qui passe dans le cytoplasme. Après excision enzymatique, il y a épissage des deux extrémités. Les introns sont libérés et dégradés tout de suite dans le noyau. Le pré-messagers est le seul ARN de même taille que l'ADN.

 

 

6/Représentation des deux types de chromatines:

 

 

La chromatine peut-être plus ou moins repliée suivant les régions :

- hétérochromatine : est une chromatine dense avec des régions silencieuses pour les transcriptions.

- euchromatine: est une chromatine diffuse avec le  transcription de l’ARNm dans les complexes de transcription.

Il y a accumulation de protéines non histones dans l'hétérochromatine.


 

7/Formation des chromatides :

 

Les chromatides résultent du dédoublement du matériel nucléaire. en phase S, on peut observer par contraste négatif ou ombrage, les yeux de réplication et  il s'agit du dédoublement du filament  nucléosomique à certains endroits.


 


 

Le réplicon représente le site d'initiation de la réplication de l'ADN. Il y a plusieurs sites d'initiation sur un brin, car il y a plusieurs yeux. Le niveau de la fourche représente le lieu instantané de la réplication au moment de l'observation. Il progresse jusqu'à rejoindre une autre fourche.  La vitesse de  progression et d'environ un micromètre par minute.


 

Formation de nouveau nucléosome :


 

Dès que les nouvelles molécules d'ADN sont synthétisées, il y a fixation des histones et H1 se fixe en dernier pour verrouiller l'ADN.  On ne trouve jamais d'ADN dénudé. Dans les embryons en segmentation, il y a beaucoup plus de réplicons que dans les cellules adultes mais ils sont plus petits. La réplication est sous le contrôle de facteurs cytoplasmiques. Pendant la phase G2,  la chromatine est dédoublée, cette phase est courte pour les cellules somatiques. 


 

 

1/ Technique d'analyse de la cellule

2/ La membrane plasmique

3/ Le réticulum endoplasmique

4/ Le ribosome

5/ Appareil de Golgi ou Dictyosome

6/ Le lysosome

7/ La mitochondrie

8/ Les organites tubulaires

9/ Le noyau inter phasique

10/ Le noyau en division

11/ Notion sur les bactéries

12/ Notions de virologie

13/ Complément sur la méthodologie de recherche en biologie cellulaire